Série d’articles de blog traitant d’actualité scientifique à caractère alternatif.
Paru dans La Presse. Très bonne lecture.
On découvre de plus en plus de liens entre la souffrance morale et le fonctionnement du cerveau. On sait maintenant que des manifestations purement biologiques au cerveau peuvent être modifiées par des expériences exclusivement humaines comme la psychothérapie, par exemple, sans aucune intervention chimique. Ainsi, la psychothérapie à elle seule peut modifier le fonctionnement du cerveau de façon permanente.
Il semble que le bruit des appareils de dentiste soit la principale source de la phobie du dentiste. On pourrait se servir de çà en hypnose. Les bruits pourraient être utilisés pour la désensibilisation sous hypnose
La démonstration parle d’elle-même. Avez-vous songé à l’hypnose pour arrêter de fumer ?
Comme quoi trop d’informations peut nous être toxique. On appelle ce phénomène l’effet nocebo révélé dans cette étude faite en Allemagne.
Durant l’hypnose ont parle principalement d’ondes alpha de l’ordre de 8 à 12 Hz. Il semble que dans le coma, ici on ait trouvé quelque chose de nouveau. Voici un résumé en français et l’article scientifique original.
Dans la foulée des applications de santé alternatives, on vient de découvrir que la méditation agir sur l’expression des gènes. Voici les explications de la revue Psychoneuroendocrinology
Comme quoi on peut travailler ceci également par l’hypnose dans le stress relié aux intestins entre autres.
Depuis une dizaine d’années, les thérapies non médicamenteuses, telles que l’hypnose et la méditation, se développent et trouvent une légitimité. Les troubles anxieux, les dépressions, les troubles alimentaires, les addictions et les douleurs sont leurs principales indications.
D’ailleurs, le chercheur Pierre Rainville de l’université de Montréal nous informe d’une grande similitude entre l’hypnose, le yoga et la méditation sur le cerveau.
Voir également un article de Pierre Rainville paru dans la prestigieuse revue Science:
P. Rainville, G.H. Duncan, D.D. Price, B. Carrier et M.C. Bushnell, « Pain affect encoded in human anterior cingulate but not somatosensory cortex », Science, vol. CCLXXVII, n° 5328, 15 août 1997.